François de Coninck م 1621 و 1662 - جرد الجدول

Il fut l'arrière-petit-neveu du côté maternel de l'historien Paul Pellisson.
Il fut le petit-fils du côté maternel de l'historien Paul de Rapin de Thoyras.

• Source Wikipedia Frédéric de Coninck et Frédéric de Coninck (1740 - 1811)

Il fut le fils du négociant Jean et de Suzanne Esther, née de Rapin de Thoyras.
1740, il naquit à La Haye des Pays-Bas autrichiens (Hollande) du Saint-Empire romain.
1763, il s'installa à Copenhague du Danemark-Norvège où il fut un négociant et l'armateur d'une flotte de 64 navires.
1770, il épousa Marie, née de Joncourt.
Il devint directeur de la Compagnie danoise des Indes orientales.

• Source Wikipedia en William Frederik Duntzfelt et William Frederik Duntzfelt (1792 - 1863)

Il fut le fils de William et de Marie Henriette, née de Coninck.
1792, il naquit à Copenhague sous le règne du roi de Danemark et de Norvège, Christian VII (Danemark).
1809, à la mort de son père, il continua l'entreprise familiale, la société Duntzfelt & Co.
1812, il obtint la citoyenneté en tant que marchand.
1814, il épousa à l'église réformée de Copenhague Bertha, la fille du capitaine de navire John Christmas.
1825, il se retira de l'entreprise familiale, la société Duntzfelt & Co (1833, la société Duntzfelt & Co fut déclarée en faillite).
1837-1843, après la fermeture de la Compagnie danoise des Indes orientales, il l'un des administrateurs de la Société asiatique danoise et, il dirigea la liquidation de la société.
1840, il reçut l'Ordre du Dannebrog.
1849, il fut un membre de l'Assemblée constituante danoise.
1863, il décéda à Copenhague sous le règne du roi de Danemark Frédéric VII.

Il fut le fils du pasteur Jean et de Louise-Philippine, née de Coninck.
1794, il naquit à Monnaz du canton de Vaud dans la Confédération des XIII cantons.
1818, il fut consacré pasteur.
1820, il fut naturalisé français.
1820-1849, il exerça son ministère pastoral au temple protestant de l'Oratoire du Louvre, au sein du Consistoire réformé de Paris.
1821, il épousa Marie Louise Constance, née de Coninck.
1837, il devint veuf.
1839, il épousa Suzanne, née Smedley.

• Source descendance de Jean Monod et de Louise de Coninck et Adolphe Louis Frédéric Théodore Monod (1802 - 1856)

Il fut issu d'une famille originaire de Suisse et de tradition réformée.
1808, la famille s'installa à Paris.
Il fut pasteur à Naples, à Lyon, puis il s'opposa au consistoire de Lyon de 1828 à 1832 et il fut révoqué pour son zèle pour l'orthodoxie.

Il fut le fils du pasteur Jean et de Louise-Philippine, née de Coninck.
1803, il naquit à Copenhague du royaume de Danemark-Norvège.
1831, il soutint sa thèse de docteur en chirurgie et, il fut reçu au concours de chirurgien du Conseil général des hospices de Paris (assistance publique).
1832, il obtint l'agrégation de médecine et, il fut nommé professeur à la faculté de médecine de Paris.
1843, il fut cofondateur de l'Académie nationale de chirurgie.
1849, il devint membre du conseil de surveillance de l'administration de l'assistance publique.

Il fut le sixième et dernier enfant d’Édouard et d’Adélaïde Marie Caroline, née Monod, dite Adèle.
Son enfance fut marquée par la maladie de son père.
1835, la famille partit à Renan du canton de Berne de la Confédération des XXII cantons (Suisse).
1836, la famille s'installa à Montauban.
1858, il obtint son doctorat en théologie de la faculté de Montauban.
1862, il fut consacré pasteur.
1865-1916, il fut affecté à Nîmes.

Elle fut la cousine de Charles Monod.
Elle fut la cousine de Julien Pierre Monod.
Elle fut la cousine d'Hélène Stapfer (Robineau).

• Source wikipedia Sarah Monod

Elle fut la quatrième des sept enfants du pasteur Adolphe et de l'écossaise Hannah, la fille de John Honyman.
1855, ce fut la mort de son père dont elle fut proche et, elle fit publier plusieurs volumes de sermons de son père.
1868, ce fut la mort de sa mère et, elle se rapprocha de l'Institution des Diaconesses de Paris.
1870, pendant la guerre franco-allemande, elle servit comme ambulancière.
1871-1901, elle fut nommée directrice laïque de l'Institution des Diaconesses de Paris.
1901, elle fut nommée à la direction du Conseil national des femmes françaises (CNFF).

Il fut le cousin de Sarah Monod.
Il fut le cousin de Julien Pierre Monod.
Il fut le cousin d'Hélène Stapfer (Robineau).

• Source wikipedia Charles Monod

Il fut le fils du chirurgien Gustave et de Jane, née Good.
1873, il obtint un prix de thèse et une médaille d'argent pour sa thèse de doctorat Étude sur l'angiome simple sous-cutané circonscrit.
1875, il fut reçu à l'agrégation de chirurgie avec sa thèse intitulée Étude comparative des diverses méthodes d'exérèse.
1877, il fut reçu au concours de chirurgien des hôpitaux.
1883-1887, il fut à l'hospice des Incurables à Ivry en région parisienne inclus dans la métropole du Grand Paris.
1887, il fut à l'hôpital Saint-Antoine à Paris.
1894, il fut fait commandeur de la Légion d'Honneur.
1896, il fut président de la Société nationale de chirurgie.
1906, il prit sa retraite.

1862, il entra à l'ENS (École normale supérieure) rue d'Ulm.
1865, il fut reçu premier à l'agrégation d'histoire.
1905, à sa retraite, il obtint une chaire au Collège de France.

Il fut issu d'une famille originaire de Suisse et de tradition réformée, installée en France depuis 1808.
1886-1889, il fréquenta l'Académie Julian, notamment l'atelier de Pierre Puvis de Chavannes.
1892, il épousa Suzanne, née Robineau, la fille de la cousine de son père Hélène Stapfer (Robineau).
1900, naissance hors mariage de son fils Philippe.

Il fut médecin.
1918, il prit la direction d’un service de radiumthérapie rattaché à la Fondation Curie à l'Institut du radium.

1907, il obtint un DES de philosophie à l'université de Montpellier.
1912, il fut reçu 6ème à l'agrégation de philosophie.
1912-1914, il enseigna à l'École des Roches (méthodes actives).
1914, pendant la Première Guerre mondiale, il servit comme infirmier d'ambulance ; il fut blessé et il dut être amputé d'une jambe.
1928, il fut professeur de philosophie au lycée Thiers à Marseille.
1936-1940, il fut nommé inspecteur d'académie de Paris et il fut démis de ses fonctions pour non application des mesures anti-juives décidées par le gouvernement de Vichy.
1941, il prit sa retraite.
1944, il fut rétabli dans sa fonction d'inspecteur général de l'instruction publique.